Quelques coups sont frappés à la porte. La voix de l'elfe de maison se fit entendre à travers la cloison de l'immense chambre. Salomé habitait une belle et grande maison en plein coeur de Londres dans un quartier sorcier huppé. ses parents avient de l'argent et cela expliquait le nombres d'objet luxueux qui tronait dans la chambre.
- Mademoiselle, réveillez vous ! ...
La jeune fille ouvrit un oeil et émit un grognement peu engageant. La lumière perçait déjà à travers les lourds rideaux. Elle se redressa péniblement, ses cheuveux bruns en bataille. Son regard vide fit le tour de la pièce, pour une fois elle était bien rangée. cela s'expliquait par le fait que toutes ses affaires (et notamment ses vêtements) étaient entassées dans les malles posées dans un coin. Salomé regarda rapidement l'heure, et retomba la tête dans les oreillers en plumes (on ne plus agréable !). Elle n'avait pas le temps de trainer, mais elle était tellement fatiguée !
Elle avait veiller tard la nuit dernière. Elle n'avait pas réussit à dormir sûrement à cause de sa rentrée du lendemain, et elle avait dévoré sans doute pour la 15000000 fois "Le portrait de Dorian Gray". Elle avait trouvé ce volume abandonné sur un banc, et il était déjà tout usé. Elle savait bien que ce n'était pas correct de lire un auteur moldu, mais ce livre était un véritable bijou. C'était en quelque sorte son jadrin sercret, elle le balladait partout, mais en aucuns cas elle le montratit à quelqu'un. Elle lire ce genre de roman, et en plus écrit par un moldu ?!
Salomé se redressa pour le seconde fois et finit par se lever. Pieds nus sur le luxueux parquet en chêne véritable, elle se dirigea vers son grand miroir et s'observa attentivement.
*C'est pas glorieux.*
Ses cheveux bruns étaient en bataille, et elle avit des cernes immenses sous ses grands yeux bleus.La jeune fille prit quelques poses essayant plusieurs sourires, parfois amicaux, aguicheurs, mais le plus souvent méprisants. On l'avait prévenu qu'à Poudlard, elle risquait de croiser en majorité des ploucs qui ne connaissaient rien à la magie. Salomé ne détestait pas particulièrement les moldus ou les sangs de bourbes, mais elle détestait les gens nuls, les ratés ... Pour elle on était doués ou rien. Et en règle général, les élèves brillants en magie étaient pour la plus part issue de famille sorcières (au sang pur), normal puisqu'ils baignaient dans cette atmosphère depuis leur plus tendre enfance. De toute façon, Salomé détestait les gens meilleur qu'elle, et elle méprisait les moins bons. Elle ne s'attendait pas à se faire beaucoup d'amis à Poudlard ...
Elle passa dans la salle de bains ou elle mit une bonne heure à se pouponer. Car mademoiselle était très coquette. Elle était jolie et elle en profitais pleinement, faire tourner les têtes était une de ses activités favorite. On aurait presque put dire, sans trop exagérer, que pour elle les garçons étaient des proies et les filles des rivales.
Elle finit par descendre prendre son petit déjeuner dans la vaste salle à manger. Elle s'assit en face de sa mère et de son beau père, sans décocher un mot. Elle ne supportait pas son beau père, c'était un richissime américain (sorcier évidemment). Il riait fort, avait des manières grossières et se pensait amusant en faisant des blagues lourdes toutes les 5 minutes. Elle en voulait à sa mère de s'être remariée avec cet idiot. Son père était mort en Russie deix ans plutôt dans d'étranges circonstances. La mère de la jeune fille, Margaret, s'était dégoté on ne savait comment un américain. Bien sur, ainsi la mère et la fille ne seraint pas en manque d'argent, mais à quel prix ! (si j'ose dire ...). Salomé pensait que sa mère avait trahit leur sang et l'honneur de leur noble famille (très ancienne lignée au sang pur). Et elle portait en plus, le nom de famille de ce crétin ! Mais le pire restait ce petit frère batard. Bien sur, ce n'était pas de sa faute, ce n'était qu'un gamin de 4 ans, mais tout de même ... elle avait du mal à le voir sans grimacer.
Salomé mangea rapidement ses pancakes sans répondre à son beau père qui tentait joyeusement d'entamer la conversation. Elle ordonna ensuite à l'elfe de maison de descendre ses bagages alors qu'elle enfilait son manteau. Puis, elle attendit sa mère pour transplaner jusqu'à la gare. Les malles seraint emmenées par leur elfe de maison.
Leur arrivée ce fit sans encombre. Salomé avait reçu quelques semaines avant sa lettre d'admission à Poudlard avanc son billet de train et sa liste de fourniture. Elle avait fait les achats le lendemain même. Sa mère lui avait offert les choses les plus couteuses possibles pour être certaine sue sa fille était bien équipée. La jeune fille, bien que naturellement feignante, avait hâte de commencer les cours mais plus partculièrement les cours de potion et de métamorphose.
La locomotive soufflait une épaisse fumée blanche, enfumant la foule qui s'entassait sur le quai. Salomé se frayait un passage jusqu'au train, et elle s'apprêtait à monter lorsqu'elle se retourna comme si elle avait oublié quelque chose. Elle embrassa sa mère sur la joue. Sa mère était émue, cela se voyait à ses yeux qui brillaiant.
-En revoir maman ...
Elle l'aimait bien sa mère, même si elle lui en voulait depuis près de 8 ans, mais la jeune fille évitait de montrer ses émotions. Cela faisait partit de son caractère. Elle trouvait sa niais de pleurer, grossier de se mettre en colère ... pour elle, le calme et la placidité était de mise.
Le voyage en train, bien que long, se déroula sans incidents noatbles. Elle fut juste dérangée par un élève jouflu et une pimbêche au dants longues et aux cjeveux broussailleux qui cherchaient un crapaud. Il faisait nuit lorsqu'ils arrivèrent dans la gare de Pré au Lard. Un type immense aux chavaux hirsutes criait que les premières années devait venir avec lui. Elle se dirigea vers lui, dévisageant ses futurs camarades. Après un petit briefing fait par une femme ultra sévère, la Cérémonie de la Répartition commença. Au fur et à mesure que les noms s'égrenait, Salomé sentait son ventre noué. Elle n'était pas d'un naturel inquiet, mais là ... Elle avait peur d'être envoyée dans une maison qu'elle n'aimait pas. Les Poufsouffles la rebutaient car elle les trouvaient niais, les Serdaigles étaient bien trop bosseurs. restait Serpentard et Gryffondor. Ces derniers étaient particulièrement courageux : ce n'était pas sa prencipales qualités (si elle en a une ...). Et puis, Serpentard était la maison de son père. Elle aurait bein aimé lui faire honneur.
Perdue dans les méandres son son esprit ô combien évolué (...), on dû repéter de fois son nom avant qu'elle ne se dirige vers le tabouret. Bravo, elle se tapait la honte dès le premier soir ! Elle mit sur sa tête le Choixpeau qui lui tomba à moitié devant les yeux.
*Pas très seyant ...*
Elle attendit avec anxiété la réponse de l'espèce de chapeau parlant qu'elle avait sur la tête.